Mardi 26 janvier 2021

L’association des Géographes de Bretagne salue le travail de reconquête des friches littorales à Moëlan-sur-Mer. Elle a attribué son prix Orange de la qualité à Optim’ism qui a créé une exploitation maraîchère bio.

Friches littorales : le projet d’Optim’ism à Moëlan-sur-Mer salué par des géographes

Encore Optim’ism, et découverte de l’association des géographes de Bretagne !


Jardin botanique, Camelia & co

Découverte du moulin de Kérouzéré


Et pourtant, cette approche est problématique: d’une part parce que le vocabulaire est guerrier, et que les organisations ont trop souffert de ce type d’impératif qui reflète des modèles mentaux viciés à la base: ici, celui selon lequel la bureaucratie est un mal et qu’il peut être combattu à condition d’être courageux et de trancher ce qui doit être tranché. La violence de la posture nourrit sa propre défaite qui ne viendra malheureusement qu’après beaucoup de souffrances et de dégâts causés à l’organisation et à ceux qui y travaillent.

la bureaucratie a des avantages, c’est ce qu’a montré le sociologue Max Weber il y a longtemps: des règles claires, identiques pour tous, la prédictabilité des décisions, la capacité à faire fonctionner de très grandes organisations, entre autres.

La bureaucratie: un symptôme, avant d’être une cause.

La terreur absolue de ces managers est d’être pris en défaut, de ne pas savoir répondre à une question dans une réunion et donc d’être déconsidéré par leurs collègues, tout aussi terrorisés qu’eux. Cette terreur a développé un manque de confiance et une peur de l’échec, qui a entraîné un besoin de se protéger à tout prix. La bureaucratie, mot qui ici qualifie le développement de procédures apparemment inutiles, est la réponse de ces managers à leur besoin de protection.

Faire la peau à la bureaucratie: Et si c’était la mauvaise question?


Nous en avions parlé avec Guillaume mercredi, voilà quelques pistes pour un projet.

Accueil Familial Thérapeutique. Au passage je découvre le site Famidac qui a l’air de contenir par mal d’infos autour des dispositifs de familles d’accueil.


Note de lecture sur « le guide pratique du jeûne » du Docteur Lionel Coudron.

tordre le cou aux idées reçues. Rappelons tout d’abord que le jeûne, dans son acception la plus simple, est tout simplement l’arrêt de toute prise alimentaire, avec ou sans eau. Sur un plan physologique, le jeûne commence dès la 10e-12e heure sans alimentation.

Notre corps supporte en définitive mieux la privation que l’excès, et ne sait pas gérer correctement cette profusion alimentaire. Ainsi, nous entrons pour la première fois dans un siècle où le nombre de malades souffrant des excès de nourriture est plus important que celui souffrant de manques.

Lorsque vous n’apportez plus de nourriture à votre corps, vous allez certes modifier votre manière de produire de l’énergie, mais vous allez tout de même continuer à en produire. Pour mieux comprendre ce qui se passe, nous pourrions comparer les deux modalités de production d’énergie de notre corps à des «chaudières »qui fabriquent de l’énergie avec deux combustibles différentes.

La première utilise directement le carburant qu’on lui fourni dans notre nourriture : les glucides, essentiellement du glucose. La deuxième va s’allumer après 1,5 jours, lorsqu’on n’apporte plus rien à la première. Elle va utiliser la glycogenèse (bruler du glucose pour produire de l’énergie).

Si la monodiète est souvent bénéfique en cas de troubles digestifs et si elle peut améliorer la flore intestinale en apportant beaucoup de prébiotiques, elle se distingue du jeûne proprement dit car le nombre de calories apportées sous forme de glucides est très élevé et proche des besoins quotidiens. Ces monodiètes ont également pour effet de stimuler la détoxication hépatique, qui consiste à neutraliser les toxines et à les éliminer par voie bilaire et intestinale ou rénale et urinaire.

Dans ce type de diète, les glucides sont habituellement apportés par le fruit choisi et ils sont composés en général pour moitié de glucose et pour moitié de fructose. Composition des fruits en fructose/glucose

|—|—| | Fruit | Fructose/Glucose (pour 100g) | |—|—| | Raisin | 7g / 7g | | Pomme | 6g / 2g | | Pêches | 1g / 1g | | Baies ou fruits routes | 3g / 3g | | Tomates | 2g / 1g | | Ananas | 2g / 2g | | Agrumes | 2g / 2g | |—|—|

Dès que vous constatez de la fatigue, vérifiez votre pression artérielle et compensez en prenant du sel soit directement dans la bouche, soit sur une rondelle de tomate ou tout autre légume qui me permet (par exemple une branche de celeri). Il faut au minimum 3 à 4 g de sel par jour, soit trois ou quatre pinces. N’importe quel sel de cuisine fait l’affaire. Vous pouvez aussi demander à votre pharmacien de vous préparer des gélules de chlorure de sodium que vous prendrez en complément. Enfin, pensez à boire des eaux salées, il en existe un certain nombre sur le marché.

La méthode Büchinger (consiste à prendre un bouillon) Le basculement vers la fabrication de corps cétoniques et l’utilisation des graisses corporelles de réserve se fait lorsque l’on apporte moins de 450 kcal à l’organisme et moins de 50 g de glucose. Si vous consommez une soupe légère composée de quelques légumes, cela ne limitera en rien le passage en mode jeûne. Il vous suffit de choisir des aliments pauvres en glucose et en petite quantité. Pour cela, bannissez les féculents comme les pommes de terre, le riz, les pâtes, et privilégiez des légumes riches en eau et pauvres en glucides, c’est-à-dire tous les légumes à feuilles vertes tels la salade, les épinards, les tomates, les radis, les courgettes, les aubergines… Vous pouvez utiliser aussi quelques racines plus riches en glucides comme la carotte ou le navet, mais vous n’en mettez alors qu’en petite quantité.

Recette de bouillon de légumes ou de potage très léger. 1 carotte, 1 poireau, 1 navet, 1 oignon (et autre légumes si besoin), coupés en rondelles, dans 1 lites d’eau. Faites bouillir durant 20 minutes. Salez un peu plus que la normale (ajoutez épices et aromates selon votre goût). Consommez ce bouillon sur 3 jours, en prenant 1 bol chaque soir ou à tout autre moment à votre convenance, ce qui fait un tiers de litre par jour, quantité qui peut plus ou moins varier selon la corpulence.

Variante À la place du bouillon, il est possible de consommer un seul fruit par our, une pomme par exemple, qui fera office d’apport glucidique et vitaminique. Il faut dans ce cas mâcher longuement la pomme de manière à transformer la totalité de la chair en jus par la mastication et ne pas avoir de solide qui pénètre dans l’estomac, ce qui entrainerait une réaction de broyage de l’estomac et réactiverais un processus plus complexe de digestion.

De fait le jeûne est exactement l’inverse des processus de surcharge alimentaire qui provoquent oxydations et inflammations. Le jeûne provoque au contraire une réduction de ces phénomènes. De plus, comme la « nourriture » manque, les cellules détruites vont service d’aliments en priorité. Cela explique la vertu de régénération du jeûne. Il opère un véritable nettoyage au sein même des tissus qui se débarassent des cellules ne répondant pas aux meilleurs critères.

Tisane détox Mettre à part égales dans 1 lite d’eau chaude frémissante mais non bouillante un mélange de feuilles séchées d’artichaut, de pissenlit et de chardon-Marie, à raison de 60 g en tout (soit une bonne poignée). Laisser infuser de 5 à 10 minutes, puis passer. Boire tiède ou froid, 1 tasse trois fois par jour pendant 3 à 4 jours.

Le jeûne peut être contre-indiqué si l’on souffre de certaines pathologies. Voici les principales qui entraînent une contre-indication absolue au jeûne. - Arythmies cardiaques - Décollement de rétine - Dénutrition, cachexie - Diabète de type 1 - Hyperthyroïdie - Hypotension artérielle sévère - Infection en cours (tuberculose, …) - Insuffisance hépatique avérée - Insuffisance rénale - Troubles du comportement (comportement colérique, agressivité) - Troubles du comportement alimentaire : anorexie mentale, boulimie - Le jeûne est également contre-indiqué chez les enfants et les adolescents jusqu’à la fin de leur croissance, les femmes enceintes ou allaitantes, les personnes âgées.

Durant le jeûne, on peut consommer du thé, du café, des infusions (verveine, romarin, camomille, thym, et toutes les infusions dépuratives).

Il va de soi que si le jeûne est un outil puissant pour nettoyer, purifier, remettre l’organisme à neuf, il n’est pas question de s’en servir comme un prétexte pour faire n’importe quoi en dehors de ces phases.

Les 10 points pour une alimentation plus raisonnée 1. Ne grignotez pas entre les repas. 2. Vous pouvez sauter un repas de temps en temps et même, pourquoi pas, régulièrement. 3. Privilégiez les aliments à base de végétaux et les moins transformés possible. Vous aurez tous les jours à votre table des légumes et des fruits. 4. Surveillez votre poids, c’est le révélateur de votre consommation calorique. 5. Surveillez vos selles, qui sont le témoin d’une alimentation adaptée à vos besoins. 6. Veillez à apporter de bonnes graisses à votre organisme, en particulier des oméga-3. 7. Veillez à conserver un bon rythme de sommeil et de récupération. 8. Maintenez une activité physique régulière pour entretenir non seulement votre tonicité musculaire, mais aussi votre souplesse, votre équilibre et votre coordination. 9. Posez-vous régulièrement les questions suivantes : Qu’est-ce qui est important et essentiel dans ma vie ? Qu’est-ce que je garderais si je ne devais plus avoir qu’une seule chose ou ne pus faire qu’une seule chose ? 10. Veillez à pratiquer un jeûne de temps en temps.

Les exercices de yoga permettent d’éliminer les bactéries pathogènes en améliorant la fonction intestinale. Les exercices d’automassage comme uddihyana, agnisara krya, les exercices de torsion comme matsyendrasana participent à la « détox » de l’intestin, tout comme peut le faire le jeûne. Ainsi, notre microbiote saprophyte peut de nouveau se développer et asurer notre protection et notre santé. Mais la détox, c’est aussi relancer la fonction hépatique - le foie est l’organe majeur de la neutralisation des substances toxiques pour l’organisme.


Association de lutte contre l’utilisation de la technologie dans les violences faites aux femmes


Fabuleuse vidéo sur les couches chaudes au canada de l’ancien temps