30 avril 2021

Gemini Quickstart!

Pour s’y mettre, je crois que j’ai besoin de prendre des habitudes avec un navigateur. Je ne sais pas si ça s’appelle comme ça dans cette univers ?

Et là, je me retrouve confronté à mon choix pour Debian stable, pas de navigateur Gemini dans les dépôts. Et je découvre pourquoi certaines et certains on créer les Appimages, pour court-circuiter justement la « lenteur » d’entrée des applications dans les dépôts stable.

Faut-il que je change de distribution ? Simplement passer à Debian Testing ? Et si c’était le moment de retenter une BSD ? Sur FreeBSD il y a des clients Gemini LaGrange est sur OpenBSD, Castor également.

Le hic de BSD ça va être les outils de visioconférence ?

Pas de telegram, pas de zoom sur OpenBSD.

Keybase est disponible sur openbsd.

Zoom et telegram sur freebsd par contre

Une autre étape est la publication. Il y a apparemment pas mal de serveurs qui propose d’héberger gratuitement du contenue pour ce protocole. Et ça ne semble pas si difficile d’avoir un serveur quelque part… Je crois que mon ami Julien utilise une RaspberryPI pour faire tourner son serveur Gemini.


J’ai besoin de changer mon installation de bureau debout.

Je pourrais aussi changer mon installation ordinateur. Pourquoi utiliser un portable alors que je bouge pas de mon bureau la plus part du temps ?

Il serait temps que j’ai rencontrer l’association Defi de Lanester pour acheter un ordinateur fixe d’occasion pour les enfants. Ça me permettrait de voir un peu ce que ça signifie de revenir à ce genre de machine.


Veille design accessible et inclusif #8


Une personne ne souhaitant pas apprendre Git parce qu’il connait déjà SubVersion et n’a pas envie d’apprendre Git à également évoqué sont plaisir d’avoir utiliser CodingTeam. Apparemment un bien bel outil de forge logiciel. Je ne crois pas avoir déjà utilisé, c’est peut-être à regarder ?


Le guide d’éco-conception de services numériques des Designers Éthiques association de recherche-action autour de la conception responsable et durable.

L’unité fonctionnelle correspond à la fonction principale que remplit le service et se traduit souvent par un acte métier. Par exemple : “Acheter un place de concert”, “Regarder une vidéo en ligne”, “Rechercher un numéro de téléphone”…

Servir les images selon la taille d’écran

Le concept de “Responsive images” permet, surtout lorsque les images ne sont pas vectorielles, de charger une taille d’image selon la taille de l’écran de l’utilisateur. Cela nécessite de la puissance de calcul pour le serveur qui doit redimensionner dynamiquement l’image selon le terminal d’affichage.

Pour éviter cette sollicitation inutile, il est recommandé de correctement compresser ses images et d’en fournir plusieurs, par exemple pour ordinateur, tablette et smartphone, à différentes résolutions. Cela se fait avec la balise html qui est largement supportée par les navigateurs mais la bonne nouvelle c’est que cela fonctionne même sans le support grâce à une “fallback” avec la balise .

Carte interactive

Lorsqu’il s’agit d’une carte interactive pour localiser des lieux, considérez l’utilisation qui en sera faite, et remplacez, par exemple, par un annuaire.

Eviter la complétion automatique

Les mécanismes d’autocomplétion ou de suggestions qui visent à compléter automatiquement ou suggérer des options “intelligentes” nécessitent beaucoup de requêtes vers le serveur.

Tester le service sur différentes connexions

Cette étape consiste à vérifier que le service fonctionne bien sur des connexions “dégradées”, par exemple 2G ou 3G.

Utiliser des outils comme lowband.com ou les outils de développement Firefox pour simuler une connexion internet bas-débit et vérifier que le site reste accessible.

Exemple des outils de développement Firefox

Dans l’onglet “Network” ou “Réseau” en français, vous pouvez sélectionner le type de connexion de l’internaute et identifier les temps de chargement associés.

Dé-numériser, re-matérialiser

Parfois, la meilleure solution pour répondre à un besoin utilisateur tout en réduisant ses impacts environnementaux peut être non-numérique !

Cela demande une réflexion de fond, pas mal de créativité et surtout d’évaluer les avantages et inconvénients d’une solution “analogique” comparée à une solution numérique.


Quand Empreinte Digitale devient une SCOP

Créée à Paris fin 1993, Empreinte Digitale, alors appelée V-Technologies, a planté ses racines en Anjou dès l’année suivante. Depuis nos débuts, nous travaillons et nous évoluons avec le numérique ; nous avons commencé avec le Minitel, les CD-ROM et les DVD-ROM, puis, très vite, sont venus les sites et applications Web “sur mesure”, hébergés sur notre centre serveur.

Le 24 janvier 2020, Empreinte Digitale est devenue une SCOP (Société Coopérative et Participative) avec 50 collaborateurs, dont 32 salariés associés. À l’origine du projet, deux ans de travail avec l’ensemble de l’équipe pour réussir la transmission de l’entreprise par ses fondateurs, Véronique Lefèvre-Toussaint et Jean-Luc Renaud.

Qui a dit qu’il n’y avait pas beaucoup de SCOP en informatique ?

Empreinte Digitale


La théorie du Donut : une nouvelle économie est possible


Monter une structure ? À force d’en voir, d’en essayer, d’y participer, je crois que j’affine ce que j’aimerais.

A la question : est-ce que nous pouvons faire évoluer collectivement une structure vers un autre objet ? J’ai bien envie de dire oui en théorie. Dans la pratique je ne l’ai pas trop vue. À chaque fois, ça ne bouge pas. C’est sans doute pour ça aussi que la création d’une nouvelle structure me démange. Je me sent fatigué de vivre des micro déception.

Mon contexte actuel ne m’invite pas à me lancer dans ce genre d’aventure. Je pourrais dire un truc comme « c’est pas le moment ». Et pourtant ça me trotte dans la tête.

L’écrire pour me vider la tête ; l’écrire pour le partager ; le partager pour peut-être avoir de l’aide ; le partager pour peut-être voir des personnes s’en inspirer.

Une Scop pourquoi pas, une SCIC m’intéresserais plus, histoire d’embarquer tout le monde dans les discussions, dans les décisions. Un modèle commercial plus proche de l’agence me semblerais pas mal. Mais peut-être le l’ESN serait plus simple.

La distinction que je fait entre les deux ? L’agence, c’est Captive Studio : l’équipe est présente dans ces propres locaux. Les clients demande un produit, un site. L’ESN c’est /ut7, Scopyleft et consort. Nous sommes ensemble, mais en mission chez d’autres, pour d’autres. Les clients demande du temps de cerveau disponible.

Un petit avantage que je vois aussi avec la version agence, c’est qu’il est plus facile d’envisager de construire un produit, un service que lorsque nous sommes dans un modèle commercial d’ESN.

C’est bien ce qui me gratte d’ailleurs, l’aspect commercial. Comment trouver des missions ? Comment trouver du boulot ? Quel plait pour moi, alors pour plusieurs personnes ?

Parce que l’axe qui m’intéresse le plus serait de faire une structure qui à vocation à accueillir les personnes qui arrive dans le milieu, celles qui ont besoin de se construire de l’expérience pour être un peu plus à l’aise.

C’est la suite de ma théorie.

Puisque la plupart des offres d’emploi dans l’informatique demande un bac +5 et 2 à 3 ans d’expérience (je dirais bien 80% des offres si ce n’est plus ?) ; Puisqu’en vrai, il suffit d’avoir un seul des deux critères pour passer bien souvent ;

Du coup, les personnes qui peuvent faire une école d’ingénieur, la fac, ou autre, permettant de cumulé 5 ans au compteur peuvent s’en sortir sans aide. Mais les personnes en reconversion, les personnes qui tente un bootcamp, une formation courte. Celle-ci, c’est moins simple. Alors j’ai envie de fabriquer un endroit où ça serait bien pour elles, pour faire ces deux à trois ans d’expérience.

Il faudrait que ça soit un deal clair.

Que le client sache qu’il y a une option très clair d’embauche si lui et la personne sont d’accord.

Après tout, c’est le schéma des ESN depuis toujours. Sauf qu’on a l’impression qu’elles ne cherchent pas à travailler correctement cette aspect des choses. J’ai l’impression que c’est plutôt une sorte de conséquence subit.

En plus, je pense que l’ESN ou l’agence, c’est un bon moyen d’explorer plusieurs projets, différents contexte, pour se construire une riche expérience en peut de temps.

À réfléchir encore et encore.


Découverte de coopérative :

Et un logiciel

Opaga

OPAGA est un logiciel libre développé depuis novembre 2017 par Dimitri Robert et qui a pour objectif de gérer tous ces aspects administratifs.